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Tableau de l'infirmerie

Lieux de prières et de méditation, les cellules de chaque carmélite témoignent de leur engagement spirituel permanent. Ayant fait vœu de pauvreté, les carmélites y réalisent l’Oraison, soit un « cœur à cœur avec Dieu » dans un environnement austère qui s’apparente pour chacune d’elle à un « désert ». Solitude et silence y sont de mise au milieu d’un mobilier simple et rudi-mentaire. 

La cellule carmélite, celle de Louise de France, (reconstitution de 1980),

Musée d’art et d’histoire de Saint-Denis.


© Musée d’art et d’histoire de Saint-Denis.

Une carmélite y dispose seulement d’un lit sommaire, d’une chaise, d’une croix, d’une corbeille, d’un sablier et de livres. Quelques images et inscriptions religieuses viennent agrémenter cet espace intime. Le musée d’art et d’histoire de Saint-Denis a reconstitué une cellule emblématique du carmel à savoir celle de Louise de France qui l’occupa lorsqu’elle dirigea, en tant que prieure, la communauté de Saint-Denis à deux reprises, en 1773 et 1785.

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